Alain Coelho

Chaque jour une nouvelle vie, et cependant certains instants ont semblé s’étendre au-delà des journées, ainsi que des notes qui perduraient sous les sons qui changeaient, et ont semblé se propager, traverser toutes nos vies, presque les déployer.

par Alain Coelho

Lire

Comme celui d’écrire, le chemin de l’école était à la fois droit et courbe.

par Alain Coelho

Lire

Je ne me souviens plus du retour de ce voyage que nous avons fait en voiture, dans le Tessin, jusqu’au beau village perché de Montagnola.

par Alain Coelho

Lire

La mer avait une épaisseur dans le soir, et sa densité sourde battait tout autour de nous sur le quai de Tunis.

par Alain Coelho

Lire

Était-ce chez notre voisin corse et lors de jeux organisés pour les enfants sur la base militaire, mais j’avais aperçu déjà la jeune fille venue me garder ce jour-là dans la maison se vidant.

par Alain Coelho

Lire

Constituant tout un monde à lui seul, notre départ pour la France exista bientôt comme un nouveau centre des choses.

par Alain Coelho

Lire

Oh, tant d’instants, tant de filaments de nos vies sont associés pour moi à ce départ pour la France qu’ils semblent, dans la causalité de l’enfance et d’alors, l’avoir constitué, l’avoir doté du moins de ses formes profondes, du vrai noyau particulier de ses réalités.

par Alain Coelho

Lire

C’est une miniature de forêt, vive un instant dans le ciel, rien n’a disparu, et rien ne se recouvre.

par Alain Coelho

Lire

C’était déjà comme un départ.

par Alain Coelho

Lire

Evénements, célébrations, visites, anniversaires, grandes « occasions » émaillaient le temps fluide et solide sur la base militaire d’Al-Aouina

par Alain Coelho

Lire