2007-2008
"La Chambre Claire"

Roland Barthes, Günther Anders, Groupe Novembre, Georges Bloess, Adolfo Bioy Casares, Walter Benjamin

I. Le temps de la fin (Éditions de l’Herne) de Günther Anders, présentation Jean-Louis Poitevin, Galerie Viaduc des arts, Daumesnil, 2 octobre

II. Conférence débat autour de l’exposition des Artistes du Groupe Novembre, présentation de Jean-Louis Poitevin, Bernard Gerboud & Daniela Goelller, Galerie Viaduc des arts, Daumesnil, 23 novembre

III. La chambre claire de Roland Barthes, présentation Jean-Louis Poitevin, Musée des Arts derniers, 4 décembre

IV. La chambre claire de Roland Barthes, présentation Jean-Louis Poitevin, Musée des Arts derniers, 8 janvier

V. La chambre claire de Roland Barthes, présentation Jean-Louis Poitevin, Musée des Arts derniers, 5 février

VI. La chambre claire de Roland Barthes, présentations de Bernard Gerboud et Jean-Louis Poitevin, Musée des Arts derniers, 18 mars

VII. Communication de Georges Bloess sur Simone de Beauvoir et Roland Barthes, la photographie et l’image de la mère, Musée des Arts derniers, 8 avril

VIII. L’invention de Morel d’Adolfo Bioy Casares, présentation de Jean-Louis Poitevin, Galerie Viaduc des arts, Daumesnil, 3 mai

IX. La question de l’aura chez Walter Benjamin, présentation de Jean-Louis Poitevin, Galerie Viaduc des arts, Daumesnil, 5 juin

jeudi 5 juin 2008

IX - Walter Benjamin - La question de l’aura

Il apparaît nécessaire de tenter au terme de cette année et de cet ensemble de conférences sur Walter Benjamin d’esquisser non pas une définition de l’aura, Walter Benjamin en donne quelques-unes, mais une compréhension de ce en quoi ce concept a marqué la saisie d’une mutation importante toujours en cours dans le psychisme humain.

par Jean-Louis Poitevin

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samedi 3 mai 2008

VIII - Le pouvoir psychique des images

Le roman d’Aldolfo Bioy Casares, L’invention de Morel date de 1940. La dimension profondément visionnaire de ce texte n’a échappé à personne, mais il n’est pas certain que l’on ait pris en compte la question essentielle que ce texte nous pose aujourd’hui et que l’on pourrait formuler ainsi : Que nous veulent les images ? ou plutôt : Que veut l’image en nous ?
Mais de quelle image parle-t-on ?

par Jean-Louis Poitevin

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mardi 18 mars 2008

VI - La chambre claire de Roland Barthes

Tout comme pour l’ensemble de son œuvre par ailleurs variée, ouverte et attentive à de nombreux sujets, La Chambre claire, Notes sur la photographie, bien que largement nourrie de structuralisme, alors qu’il évolue vers un post-structuralisme beaucoup plus souple, est un essai où Roland Barthes invente une esthétique qui lui est propre. Roland Barthes renouvela profondément les rapports de la théorie et du romanesque.

par Bernard Gerboud †

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mardi 5 février 2008

V - La chambre claire de Roland Barthes

Nous entrons donc dans la palinodie, dans ce nouveau chant qui va à la fois contredire ou s’opposer en partie au premier chant, mais qui va en reprendre les principales articulations pour mieux les déplacer.

par Jean-Louis Poitevin

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mardi 8 janvier 2008

IV - La chambre claire de Roland Barthes

Reprenons le texte dans sa continuité, ce qui reste la meilleure manière de saisir comment fonctionne le système d’inférence. Nous allons donc ici entrer dans le long développement sur le studium.

par Jean-Louis Poitevin

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mardi 4 décembre 2007

III - La chambre claire de Roland Barthes, présentation

Roland Barthes aimait raconter cette petite blague à ses étudiants : un infirme se plonge dans l’eau de Lourdes pour que sa situation s’améliore et en ressort avec une chaise roulante toute neuve.

par Bernard Gerboud † et Jean-Louis Poitevin

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mardi 4 décembre 2007

II - La chambre claire de Roland Barthes

Ce livre est le dernier de Roland Barthes.
Il se situe dans la lignée de la position barthienne post-structuraliste. Il prolonge par exemple un livre comme Le plaisir du texte de 1973. Il constitue cependant une plongée radicale dans la mise en œuvre d’une pensée subjective ou de la pensée comme exercice de la subjectivité.

par Jean-Louis Poitevin

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mardi 2 octobre 2007

I - Günther Anders

C’est un participant, Chong Jae-Kyoo, qui l’autre jour a dit en lançant sur la table le petit livre qui nous occupe aujourd’hui, Le temps de la fin de Günther Anders : « c’est bien, mais il faudrait en tirer une esthétique ! ». Il n’a sans doute pas dit « une » esthétique mais quelque chose qui nous permette d’avancer dans ce domaine.
Et je me suis dit que c’était là une bonne question, surtout lorsqu’il s’agit d’un texte comme celui-ci qui n’a, on le comprend bien en le lisant, pas grand-chose à voir avec les questions d’esthétique.

par Jean-Louis Poitevin

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