cinéma

Une page folle de Teinosuke Kinugasa un pur moment de cinéma. Ombres erratiques dans les brisures de la mémoire, cris silencieux entre les barreaux de la douleur au délire, danse pour un amour fou.

par Gaëtan Viaris de Lesegno

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Clarisse Fabre parle avec la réalisatrice américaine Bette Gordon de son œuvre, de sa manière de filmer et de sa vision de notre société.

par Bette GORDON , Clarisse Fabre et Hervé Bernard

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Extrait du livret L’âge d’or StudIo 28 (page 12) inséré dans la revue Les cahiers du Musée national d’art moderne de 1993 correspondance entre Luis Buñuel et Charles de Noailles.

par Gaëtan Viaris de Lesegno

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Ainsi font font font les petites marguerites ?
Mais que font-elles au juste ?
Elles vont à l’ennui en plein jour,
elles ne savent pas ce qu’elles font,
elles répondent pourtant au monde,
avec le cynisme,
qui est le sien.

par Marie Barbuscia

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On a beaucoup commenté la mort du Maître ; maintenant, revenons à son œuvre, en partant, historialement et de façon matérialiste, de ses films. Ses films comme œuvres d’art.

par Guillaume Basquin

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Evénement : L’Affaire des divisions Morituri (1984), Le Trésor des Îles Chiennes ((1991), Docteur Chance (1998), les 3 premiers longs métrages ressortent en salle en version restaurée à partir du 24 août prochain.

par Michèle Collery

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Un film d’amour fou, d’une poussée irrésistible qui jette l’un vers l’autre, quelles que soient les circonstances, un homme et une femme qui ne peuvent jamais s’unir…

par Gaëtan Viaris de Lesegno

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Au milieu des années 90 naît la Peinture avec le Cinéma. Ce tournant artistique se produit avec la rencontre d’un collectionneur d’art & galeriste qui met un atelier à ma disposition sur Paris, d’une amie qui m’offre une bobine de film avec laquelle je crée ma première "Matrice" transparente et réalise la première Peinture... avec le Cinéma...

par Bernard Gast et Martial Verdier

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Initialement venue au Musée d’Orsay pour une simple découverte culturelle, je me trouve finalement face à une exposition qui semble animer cet édifice longtemps resté figé.

par Suzanne Anger

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Les deux réalisatrices ont posé, dès le départ, le cadre de leur film, en expliquant aux participants du film, émigrés clandestins, leur profonde motivation, leur empathie pour leurs dures conditions de vie, mais aussi les limites de cette action et le dispositif.

par Catherine Belkhodja

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