colloque

dimanche 31 octobre 2021

Le corps en désordre

Le corps est présent dans l’art depuis les origines, mais sa valeur symbolique s’est dissoute pour laisser la place à un corps de plus en plus érotisé, et par voie de conséquence, de plus en plus nié par la pudibonderie religieuse relayée par les réseaux sociaux.

par Martial Verdier

Lire

mercredi 29 août 2018

Faute d’Éden

Une plate-forme surplombe deux énormes cuves. En arrière-scène improvisée, sur une grande toile noire a été grossièrement peinte au Blanc de Meudon la forme incertaine des deux corps.

par Sylvie Roques

Lire

mercredi 29 août 2018

La honte, un sentiment originaire ?

C’est un mot tout à fait singulier que celui de honte. Il est au cœur de récits fondateurs celui qui désigne un sentiment qui survient suite à un acte, une action, un geste dont l’impact est tel sur l’un ou l’autre des acteurs qu’il creuse sous ses pieds comme un abîme sinon terrifiant du moins insupportable. Il désigne aussi au cœur de chaque homme un sentiment dont on a l’impression qu’il était là avant nous, qu’il précède en quelque sorte les expériences vécues qui pourront le faire naître.

par Jean-Louis Poitevin

Lire

mercredi 29 août 2018

Création, Pulsion et Corps

Création, Pulsion et Corps explore ce qui fonde la performance réalisée par Eun Young Leepark « Cris souffles » lors de la rencontre artistique « Corps encore », Roubaix, 2018.
La mise en abyme de la performance avec la vidéo « Boca » permet de croiser la fonction du cri dans l’art coréen traditionnel et dans l’art contemporain occidental.
Ce croisement est analysé dans ce qui lie pulsion, corps, création et inconscient. Pour cela les œuvres contemporaines d’Antonin Artaud, Xavier Le Roy et Im Kwon-taeck permettent d’éclairer le rapport entre le « cri hors-sens » et le « cri-mémoire », entre désir, passion et douleur.

par Eun Young Leepark

Lire

mercredi 29 août 2018

Séquences au paysage crié

Crier encore en croyant savoir que c’est vers la ligne de crête qui étire ses dents sur le versant acosmique du rêve pour rejoindre le désastre de rêver le rêve du lointain qu’on convoque qui s’approche vient repart revient s’efface

par Jean-Louis Poitevin

Lire

mercredi 29 août 2018

Attraction/Répulsion

Approche symbolique d’une installation de l’artiste belge Laurence Dervaux relative à la quantité de sang pompée par le cœur humain, œuvre de la collection de la Province de Hainaut et du Bps22.

par Laurence Dervaux

Lire

mercredi 29 août 2018

Corps à corps

L’intervenante-performeure se lève de sa chaise située derrière la table de conférence. Elle tient dans ses mains une ramette de feuilles de papier de format A4. Elle fait quelques pas vers l’auditoire et se dirige à sa gauche. À cet endroit, l’espace est libre. Elle sort une feuille de l’ensemble et la dépose au sol. On peut voir l’image de la tête d’une statue romaine d’Aphrodite [2]. Elle se place devant la table, face au public, et commence à lire un extrait de la pièce Le Somnambule de Gao Xingjian, sans en indiquer la référence.

par Simona Polvani

Lire

mercredi 29 août 2018

À fleur de peau

La peau, à la fois matière et réseau, interface relationnelle et contenant individuel, imprime, partage, cartographie, nous place dans une alternance fusion-scission, nous tisse aux différents mondes du dehors et du dedans.

par Maria Clark

Lire

mercredi 29 août 2018

Corps, Rituel et temporalité

Le travail de Matthew Barney River of Fundament (2014), basé sur Ancient Evenings, le roman de Norman Mailer, se joint à un opéra de cinq heures et demie de film et performances réalisés sur une période de sept années et à l’installation d’une série de sculptures dans l’espace d’une galerie.

par Angélica Maria Alves de Carvalho

Lire


|