nu

lundi 30 novembre 2020

Femmes Sauvages II

Le projet « femmes sauvages » a été réalisé aux bord de la Semoy — rivière trans-ardennaise — de 2016 à 2017 dans le cadre de la résidence artistique Rrose Semoy.

par Martial Verdier et Sylvain Paris

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lundi 2 novembre 2020

Femmes Sauvages 01

Photos, peinture et corps, lumière et couleur contre l’enfermement

par Martial Verdier et Sylvain Paris

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dimanche 26 juillet 2020

Paintographies

La figure humaine est le sujet quasi exclusif des œuvres de Georges Dumas, avec une place importante accordée au nu.

par Corridor Eléphant et Georges Dumas

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mardi 29 octobre 2019

Martial Verdier

Femmes Sauvages en 100 secondes et 1000 images

par Martial Verdier

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samedi 28 septembre 2019

Peut-on parler de "Photo Brut" ?

Dans cet article paru dans la revue de l’Académie des Beaux Arts, Bernard Perrine s’interroge sur l’existence d’une photographie brute.

par Bernard Perrine

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lundi 1er mai 2017

L’œil et la blessure

Dahmane est né en 1959 de parents artistes l’un et l’autre. Son père est l’un des maîtres de la gravure de son temps et un peintre important dont l’œuvre s’inscrit dans le sillage de l’École de Paris et sa mère, elle, développe une œuvre plus discrète qui l’influence tout autant.

par Dahmane et Jean-Louis Poitevin

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lundi 1er mai 2017

Syndromes extatiques

Isabelle Waternaux joue avec des corps en mouvements, qu’ils soient ceux de boxeurs ou de danseurs. La générosité de Pierre Apraxine lui a permis d’entrer en relation avec des chorégraphes/danseurs à New York en 2001, année des attentats qui l’ont renvoyée à une autre violence, celle que l’on trouve dans les œuvres de Francis Bacon. Ses images ont alors "viré" au grotesque. Éric de Chassey, lui a écrit le texte de Correspondances, titre de son troisième recueil de photographies. Elle livre ici quelques images de corps en exercice qui se trouvent possiblement sur le chemin d’une extase.

par Isabelle Waternaux et Jean-Louis Poitevin

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lundi 1er mai 2017

États du corps

Lors de séance de travail avec des étudiants, sortant de ses chemins habituels, Alain Nahum s’est pris au jeu et a tenté de mettre en image ce à quoi un corps, nu offert, celui d’un modèle, pouvait lui faire penser. Si le point de départ était la relation possible avec le modèle, le but fut vite un travail de réflexion sur les possibilités offertes par le noir et la lumière pour montrer à la fois comment un corps pouvait nous électriser et comment quelque chose comme une sensation directe pouvait être représentée.

par Alain Nahum et Jean-Louis Poitevin

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