exposition

samedi 2 mars 2024

Glossaire photo-graphique

Gaëtan Viaris a rédigé un glossaire sur son œuvre photographique à l’occasion de l’exposition collective intitulée « En noir et blanc », qui a lieu jusqu’au 31 mars 2024 au musée Réattu d’Arles.

par Gaëtan Viaris de Lesegno

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mardi 30 janvier 2024

En d’infinies variations

Le monde s’accélère au rythme des révolutions industrielles qui se succèdent et produisent autant de mutations sociétales et esthétiques. C’est au XIXe siècle que se généralise en peinture le traitement de sujets en série, comme pour mieux en appréhender tous les aspects.

par Dominique Moulon

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mardi 30 janvier 2024

L’arbre comme antidote à la répétition

Ces dernières années, la présence des arbres, tant dans l’art que dans la littérature ou le cinéma, a explosé. L’arbre est devenu le symbole d’une nature maltraitée et sa condition, le miroir de la nôtre. Compagnons d’infortune, ils subissent de plein fouet les outrances de l’anthropocène, alors que leur ingéniosité, leur résilience et leur beauté sont de profondes sources de connaissance et d’inspiration.

par Marie-Laure Desjardins

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lundi 1er janvier 2024

Fred Forest : Beaubourg forever

L’artiste hors norme Fred Forest va faire perdre pied au Centre Georges Pompidou à partir du 24 janvier 2024.
Il accorde à TK-21 un entretien exclusif.

par Fred Forest et Martial Verdier

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lundi 1er janvier 2024

Sous l’écorce de la conscience

Si la peinture figurative se détachait de toute forme d’objectivité visuelle, pour s’approcher au plus près d’une subjectivité ouvrant à la sensation et à l’écoute intérieure, nous assisterions à de surprenantes recombinaisons psychiques. Ce serait une attention aux vibrations du monde en interaction avec son propre souffle-esprit, qui serait en capacité de surmonter la schize corps-esprit d’un homme prétendument maître du temps et de l’espace.

par Jean-Christophe Nourisson

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lundi 1er janvier 2024

All the living beings are the ghosts of the future

Pour le troisième volet de sa carte blanche art et sciences, La Cité des sciences et de l’industrie invite l’artiste plasticienne et vidéaste Faye Formisano à investir la galerie d’Universcience jusqu’au 24 mars 2024 : Tous les êtres vivants sont les fantômes du futur, All the living beings are the ghosts of the future est une fiction spéculative dont les dessins vidéographiques, les installations, les peintures sur voile ou les sculptures de verre nous plongent dans le laboratoire du chercheur Roderick Norman.

par ArtsHebdoMédias et Véronique Godé

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lundi 1er janvier 2024

Jürg Kreienbühl, peintre des marges

Avec l’exactitude et l’acuité hallucinante d’un scientifique, l’artiste s’est fait dès les années cinquante le peintre désillusionné des vieilles croyances, des banlieues et des mondes condamnés, des exclus et des ravages de l’urbanisation et de l’industrialisation. Les œuvres présentées jusqu’au 13 janvier 2024 à la galerie Loewe & Co à Paris montrent qu’il n’a rien perdu de son actualité.

par Françoise Lambert et Stéphane Belzère

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lundi 1er janvier 2024

Multitude & Singularité

Deux notions se popularisent avec le début du millénaire. Celle de la multitude que les êtres forment en réseaux. Et celle de la singularité technologique qui voudrait que les machines un jour surpassent l’être humain. Or ces mêmes  notions de multitude et de singularité conviennent tant aux êtres qu’aux technologies. Les œuvres réunies dans l’exposition Multitude & Singularité à la maison du Danemark à Paris sont à l’image de la complexité du monde dans sa version numérique.

par Dominique Moulon

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mercredi 1er novembre 2023

Mémoires Vives

« Mémoires Vives », une exposition présentée à l’Immix Galerie à Paris, a pour objet la mémoire dans sa relation étroite à la photographie, moyen privilégié permettant de convoquer, de ranimer, de sauver nos souvenirs. Les quatre artistes en questionnent divers aspects à travers des propositions personnelles très différentes et cependant complémentaires. Hommage et commémoration pour Olga Caldas et OKA ; madeleine de Proust pour Mikelle Standbridge, métaphore de l’oubli pour Fabiola Ubani. La mémoire étant pour chacun d’eux l’objet d’une réinterprétation, d’une re-création de l’événement passé, par une ré-activation de la photo souvenir brute grâce au jeu corporel, aux procédés alternatifs ou à la scénographie.

par Olga Caldas

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mercredi 1er novembre 2023

Appâts feutrés ou les merveilleuses images

Rien ne fait que le réel s’épuise dans les mots, ils ouvrent à l’ignorance. C’est pourquoi tant d’auteurs s’y vautrent, préférant la nostalgie à l’hors de portée de l’image. Car le logos est toujours débordé par le monde qui l’entoure.

par Jean-Paul Gavard-Perret

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