mercredi 23 septembre 2015
Je m’appelle Vi…, mettons !Broder. Je m’y adonnais, comme d’une drogue. par Jean-Louis Poitevin et Virginie Rochetti |
mercredi 23 septembre 2015
Je m’appelle Vi…, mettons !Broder. Je m’y adonnais, comme d’une drogue. par Jean-Louis Poitevin et Virginie Rochetti |
lundi 25 mai 2015
La promesseBien sûr, il y a la réalité, cette lente assomption des choses de la vie à la surface du sens. par Jean-Louis Poitevin et Xavier Pinon |
dimanche 24 mai 2015
TensionLe mois dernier, Adam Reynolds présentait ces deux ensembles de photographies à la galerie de l’université de Bloomington Indiana comme travail de fin d’études. Les images qu’il a réalisées dépassent largement ce cadre et constituent, outre un témoignage d’obstination pour obtenir en tant que simple citoyen les autorisations pour pénétrer dans les abris israéliens ou arpenter la bande de Gaza, la preuve d’une véritable pensée photographique. Le choix de deux modalités de prise de vue et de monstration en témoigne. Plus qu’un témoignage, ces deux ensembles d’images nous conduisent à appréhender une réalité inconnue de nous autrement que par les informations et de pénétrer à la fois dans la vie de ces deux peuples et dans certains recoins de leur existence qui parlent la langue de leur vécu mais aussi de leur inconscient. par Adam Reynolds |
dimanche 26 avril 2015
Fantômes d’AnatolieFantômes d’Anatolie explore les traces et la place du génocide arménien dans l’histoire turque et l’inconscient collectif turc. par Pascaline Marre |
mercredi 25 mars 2015
Dans l’atelier de réparationEn publiant un livre intitulé « Rêver de réparer l’histoire, psychanalyse, cinéma politique », Jean-Jacques Moscovitz montre comment sa passion pour le cinéma et sa pratique de l’analyse peuvent conduire à l’élaboration de questions essentielles. par Jean-Louis Poitevin |
mardi 27 janvier 2015
Des millions d’e(r)go iconoclastes !Les réactions engendrées par la tuerie des 7 et 9 janvier ont révélé malgré le grand concert général unitaire du 11 janvier combien un pays est fragile qui a accepté de se soumettre sans réserve depuis des décennies à des dirigeants qui n’ont eu de cesse de lui confisquer chaque jour un peu plus les choix qu’il pouvait faire, les décisions qu’il pouvait prendre et donc, l’exercice de sa puissance propre et de sa liberté. Agissant ainsi, ils ne font qu’imposer à l’ensemble de la société le geste dont ils sont les complices stipendiés, de voir leurs prérogatives réduites à l’enregistrement de décisions qu’au fond ils ne prennent pas. par Laure Reveroff |
mardi 27 janvier 2015
Autrement que croire : schize et reconfiguration psychique — II/IIOn a dit que la schize se manifeste par la présence massive d’injonctions contradictoires que le sujet est incapable de réguler à partir des préceptes qui lui ont été transmis. par Jean-Louis Poitevin |
dimanche 21 décembre 2014
Autrement que croire : schize et reconfiguration psychique — I/IILa schize est notre demeure. Une demeure intenable – il est impossible d’y tenir en place –, une demeure ne se trouvant en aucun lieu, nulle part, insituable donc – elle nous accompagne partout – et dans laquelle pourtant nous existons. par Jean-Louis Poitevin |
vendredi 28 novembre 2014
Le règne du méprisLa Fiac est passée. Paris photo a fermé ses portes, fin annuelle de la petite rengaine coulée dans le bruit médiatique. Ne l’entendent que ceux qui s’approchent trop près. Les autres vont dans l’indifférence à ce qui se trame à côté d’eux comme nous allons tous, indifférents aux guerres qui se trament dans des territoires voisins du nôtre, en notre nom et dont nous ne percevons justement que la rengaine médiatique. Avec une fermeté digne de celle qui s’exerce à l’entrée d’un camp de rétention quand il s’agit d’en interdire l’entrée à des curieux trop curieux, à la Fiac comme à Paris Photo, les responsables ont interdit à de nombreux journalistes et critiques d’art dûment accrédités mais qui n’avaient pas pu être présents le jour de l’ouverture ou qui n’étaient que des représentants de média considérés par eux comme sans intérêt pour la promotion de leur manifestation chérie. par Laure Reveroff |