Werner Lambersy †

vendredi 29 septembre 2017

Départs de feux — I/IV

Derrière les sages, les saints, les poètes, et la matière de l’âme se tient l’inconcevable néant : qu’il lui soit donné en pure perte un chant qui s’égare au-delà de lui-même.

par Werner Lambersy †

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mercredi 23 septembre 2015

Lettre à un vieux poète — II/II

Chante, puis fais silence et salue car, même désertes, il y avait une scène, une salle, et des masques aux balcons qui t’écoutaient sans rien dire…

par Werner Lambersy †

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dimanche 30 août 2015

Lettre à un vieux poète — I/II

Alors, poète, chante l’univers, porteur d’étoiles comme autant d’îles sur l’espace sans rivages et parfumeur des brumes, piquant la peau, de l’agrume lumineuse des aurores.

par Werner Lambersy †

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mercredi 30 juillet 2014

Un requiem allemand — 1986

Depuis des années, un requiem allemand me poursuit, me hante, par son déploiement d’ailes au-dessus de la clameur, comme les gouffres, le précipice suivent celui qu’ils savent sujet au vertige !

par Werner Lambersy †

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lundi 28 avril 2014

Déluges et autres péripéties

By homely gifts and hindered words
the human heart is told
of nothing

nothing is the force
that renovates the world
Emily Dickinson

« Pour qu’on sache qu’il était vivant, il a fallu qu’il meure »
Orson Welles, dans La Ricotta de P.P. Pasolini

par Werner Lambersy †

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dimanche 15 décembre 2013

Epithapheïon

Je fus poète
Qui le saura
Ça ne fait rien
Je fus poète

par Werner Lambersy †

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samedi 23 novembre 2013

On ne peut pas dépenser des centimes — II/II

20.
Ils avaient bavardé
en se promenant autour du bassin des carpes.
Le jeune homme demanda ; maître, pourrais-tu m’en dire plus
sur la question de la poule et de l’œuf ?
Le maître s’arrêta, avec deux doigts, il retira de sa bouche un bout de chique.
Tiens, dit-il, en le jetant, trouve m’en un autre ; celui-ci n’a plus de goût !

par Werner Lambersy †

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