« De l’érotisme aux pratiques extrêmes »

mardi 29 janvier 2013

J’ai horreur des dimanches

PNGD’Eros à Thanatos, du désir à la jouissance mortifère, la sexualité humaine se source, quoi qu’on en dise, au fantasme. Un interdit
et sa transgression fonde l’élan qu’inspire les partenaires, interdit jadis articulé au montage religieux qui cadrait efficacement les conditions de la jouissance des corps. Dans l’actuel, et dans certains cas, l’érotisme et le montage transgressif qu’il requiert peut céder le pas à des pratiques dites « extrêmes » ou la mort, et non plus l’interdit, deviendrait le partenaire direct.
Quel est alors le rapport des corps en jeu ? Comment montrer,
comment dire ou écrire le passage du fantasme à la chair du prochain, que l’on désire ou que l’on mortifie ?

• Gorana Manenti, psychanalyste
L’érotique de : « Belle de jour »
(Joseph Kessel / Luis Buñuel)

• Jean-Louis Poitevin, philosophe critique d’art
Érotisme et photo : L’autre scène

• Isabelle Floc’h, psychanalyste
Réflexion à partir du livre Le petit carnet perdu
de Jeanne de Berg.

• Arlette Pellé, psychanalyste
Les pratiques extrêmes : L’enfer d’un pousse-à-jouir.

• Jean-Philippe Domecq, romancier
Comment écrire une poétique de la sexualité amoureuse ?

Inscriptions recommandées

Tarifs : 20 euros Espèces ou Chèque à l’ordre de “La Ralentie”


Voir en ligne : www.galerielaralentie.com