séminaire

dimanche 2 février 2020

Logiconochronie XLIV

Cette troisième séance du séminaire que Jean-Louis Poitevin consacre au "mensonge absolu" va porter sur la lecture de certaines œuvres de Guy Debord dans la mesure où nous y trouverons des éléments nous permettant d’avancer dans le double propos qui est le nôtre ici : préciser les contours et le fonctionnement de ce que nous avons nommé « mensonge absolu » et envisager les moyens d’y faire face.
Les notes ci-dessous sont la matrice de l’exposé oral qui suit parfois des voies adjacentes.

par Jean-Louis Poitevin

Lire

vendredi 3 janvier 2020

Logiconochronie XLIII

Ce second épisode est architecturé autour du De Spectaculis l’ouvrage du théologien Carthaginois Tertullien (150-220 ap JC) qui devient en français "La première société du spectacle". Écrivain de langue latine issu d’une famille berbère romanisée et païenne, il se convertit au christianisme à la fin du IIᵉ siècle et devient un éminent théologien de Carthage avant Saint Augustin.

par Hervé Bernard et Jean-Louis Poitevin

Lire

mardi 3 décembre 2019

Faire face au mensonge absolu

Enregistrement vidéo de la première séance du séminaire de Jean-Louis Poitevin Faire face au mensonge absolu : L’Iliade comme jeu vidéo et sa réfutation par Platon : une lecture de l’Hippias Mineur, qui s’est tenu à la galerie Hors Champs le 19 novembre 2019.

par Hervé Bernard et Jean-Louis Poitevin

Lire

lundi 2 décembre 2019

Logiconochronie XLII

L’Iliade comme jeu vidéo et sa réfutation par Platon : une lecture de l’Hippias Mineur

par Jean-Louis Poitevin

Lire

mercredi 9 mai 2012

VIII - L’image entre clone et virus

Le livre de W.J.T. Mitchell qui nous intéresse aujourd’hui est, comme l’autre livre du même, Iconologie, un étrange mélange de remarques très pertinentes et de théories ambiguës.

par Jean-Louis Poitevin

Lire

mercredi 11 avril 2012

VII - L’image à l’âge biotechnologique ou du pictorial turn au bionic turn

En 1994, Mitchell avait forgé la notion de « pictorial turn » pour répondre à deux phénomènes : la reproductibilité mécanique des images nous a donné 1) plus d’images et 2) la nécessité de penser le monde en images. Depuis, nous sommes passés dans un âge post-benjaminien et nous affrontons un nouveau tournant qu’il nomme le « bionic turn ». La reproductibilité des images n’est désormais plus mécanique, mais digitale et connaît des parallèles dans le domaine de la biologie, où nous sommes désormais capables de produire des copies génétiques, des clones. Le clonage intervient de manière surprenante dans cette histoire, comme métaphore ou métapiction, et comme modèle pour parler de ce nouveau régime des images.

par Daniela Goeller

Lire

jeudi 9 février 2012

V - L’image entre métaphore et clone

Après avoir étudié les textes d’Hannah Arendt et de Jacques Derrida qui nous ont permis d’articuler la notion d’image à celle de mensonge, il est nécessaire de faire un pas supplémentaire, en mettant nos pas dans ceux de W.J.T. Mitchell et en commençant la lecture de son livre Cloning terror.

par Jean-Louis Poitevin

Lire

mercredi 7 décembre 2011

III - Images, médias et mensonge chez Hannah Arendt

Avec cette séance, nous allons entamer une série de plusieurs séminaires autour des relations complexes qui unissent la politique aux images.

Dans ce cadre nous allons devoir recourir à plusieurs définitions ou à plusieurs acceptions du mot image et à l’évidence, le pluriel sera de mise.

par Jean-Louis Poitevin

Lire

mercredi 2 novembre 2011

II - Fabriquer des images à travers les vêtements

Emanuele Coccia considère que la « faculté sensible » est la base de l’existence humaine et que cette faculté s’articule principalement dans la production et la compréhension d’images. Se vêtir revient selon Coccia à se produire soi-même en image. Ce nouveau corps – qui n’est d’autre que l’image – crée par le vêtement est un corps vide et correspond à notre faculté de transformation, plus précisément notre faculté de transformer toute sorte de chose en notre peau et inversement de nous incarner dans toute sorte de chose

par Daniela Goeller

Lire

mercredi 5 octobre 2011

I - Une lecture de La vie sensible d’Emanuele Coccia

Le titre du séminaire de cette année est tiré du texte d’Emanuele Coccia dont nous allons parler aujourd’hui. Vivre comme une image l’expression semble ouvrir sur un monde à la fois familier et étrange, sur un devenir à la fois connu de tous et un peu inquiétant. Cela sonne comme un constat et comme un projet. Pour nous ce sera une question technique et éthique, artistique et esthétique.

par Jean-Louis Poitevin

Lire