Gérard Gartner

mardi 30 janvier 2024

Portrait de Gérard

Gérard Gartner, l’artiste tsigane aux mille vies, nous reçoit dans sa maison de Collonges-la-Rouge. Entouré de livres, de tableaux et de photos, il nous raconte son histoire, avec une verve et une passion qui ne trahissent pas son âge.

par Corinne Dardé , Gérard Gartner et Nathalie Rouckout

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jeudi 18 juillet 2019

Dernier coup de poing

Homme aux mille vies, Gérard Gartner, qui fut boxeur et dont nous avons présenté le travail de sculpteur avant destruction dans le N° 56 (28 mars 2016) est aussi un écrivain. Avec Dernier coup de Poing, il impose un style qui donne toute la puissance nécessaire au crochet du droit qu’il envoie à la tête de LA BOXE pour lui faire rendre ses dents, à cette BOXE lorsqu’elle commence à NIER ses propres valeurs pour rentrer dans le rang de l’absence d’éthique et de style qui caractérise la société du spectacle.

par Gérard Gartner

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jeudi 18 juillet 2019

À la rencontre l’Alberto Giacometti

Gérard Gartner, qui fut entre autres choses boxeur et sculpteur, a connu Alberto Giacometti. Il livre aujourd’hui un livre d’analyse et de témoignage sur l’homme et l’œuvre. Précis, parfaitement documenté, il propose une approche de cette œuvre dans laquelle il relève comme le montre le passage présenté ici, une parenté "psychique" qui se noue autour de la question de la destruction. Pour mieux comprendre l’enjeu de ce terme et de la chose même, il faut alors consulter dans TK-21 les numéros 53 (décembre 2015 et 56 (mars 2016) dans lesquels des vidéos présentent ce qu’il a fait, lui Gérard Gartner de ses propres œuvres.

par Gérard Gartner

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dimanche 20 décembre 2015

Le geste majeur de la destruction

Au cours de l’année 2015, lors de sa dernière exposition personnelle à Berlin, Gérard Gartner a annoncé qu’il allait détruire l’ensemble de son œuvre à Douarnenez en janvier 2016. Auparavant comme en une tournée d’adieu il a procédé à quelques destructions d’œuvres, moments publics vécus comme autant de plongées dans le geste même de la destruction. Il présente ici sa motivation et explicite la conception philosophique qui la porte. Les images ont été réalisées lors de la seconde destruction parisienne qui s’est tenue à la Galerie de Marie-Victoire Poliakoff le 7 décembre 2015.

par Gérard Gartner , Hervé Bernard et Jean-Louis Poitevin

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