mercredi 25 mars 2015
Peau-de-photo®Dans l’atelier de l’artiste, par raclage, la gélatine se détache du papier. La découpe du visage de Gwladys ne fait plus que 4,5 microns d’épaisseur. par Laëtitia Bischoff |
mercredi 25 mars 2015
Peau-de-photo®Dans l’atelier de l’artiste, par raclage, la gélatine se détache du papier. La découpe du visage de Gwladys ne fait plus que 4,5 microns d’épaisseur. par Laëtitia Bischoff |
jeudi 26 février 2015
Signe, trace, symboleMémoire et sublimation est une exposition d’œuvres de quatre artistes femmes, Yuhsin U Chang, Chen Meitsen, Fion Gunn et Anouchka d’Anna qui se tient Galerie Médicis du 28 février au 2 mars par Anouchka d’Anna et Jean-Louis Poitevin |
mardi 27 janvier 2015
Des millions d’e(r)go iconoclastes !Les réactions engendrées par la tuerie des 7 et 9 janvier ont révélé malgré le grand concert général unitaire du 11 janvier combien un pays est fragile qui a accepté de se soumettre sans réserve depuis des décennies à des dirigeants qui n’ont eu de cesse de lui confisquer chaque jour un peu plus les choix qu’il pouvait faire, les décisions qu’il pouvait prendre et donc, l’exercice de sa puissance propre et de sa liberté. Agissant ainsi, ils ne font qu’imposer à l’ensemble de la société le geste dont ils sont les complices stipendiés, de voir leurs prérogatives réduites à l’enregistrement de décisions qu’au fond ils ne prennent pas. par Laure Reveroff |
mardi 27 janvier 2015
Le non-vuSofia Borges ne travaille pas, elle vit. Mais aussi loin qu’elle remonte, elle constate que sa vie est recouverte par les vagues d’une interrogation multipolaire. Et chaque fois qu’une période semble se terminer, elle se retrouve comme emportée par la vague, un peu plus loin, un peu ailleurs encore. Et à chaque fois, pourtant, c’est la même impression qui l’assaille, la même interrogation qui la fait se relever : penser, c’est accepter de vivre au cœur du non ratioïde, et vivre c’est penser la réalité au moyen d’éléments qui ne relèvent pas tous de la raison. par Jean-Louis Poitevin et Sofia Borges |
mardi 28 octobre 2014
Vacuum, plein de videEn vain, cet homme se raccroche aux bouts de ficelles pour ne pas s’effondrer. par Hervé Bernard |
mardi 25 février 2014
Indecipherable, are the namesPrésences incongrues d’animaux à l’œil impassible, pierres brûlées au feu inconnu de la transmutation, photo d’une sœur, souvenirs extraits d’une mémoire inconnue, paysage d’au-delà du temps, dessins catapultés images de pensée et schémas transformés en gueules béantes, tout est à la fois silence et cri dans les œuvres de Sofia Borges. Car elle photographie des choses déjà installées dans un espace de présentation, traquant avec son appareil, non la vérité de la chose ou de la personne, de l’animal ou de l’objet, mais la dystopie psychique dans laquelle aujourd’hui nous nous efforçons d’exister. Double de choses déjà exposées, les images de Sofia Borges creusent en nous le vide qui s’instaure, toujours entre le corps et l’ombre, la chose et son spectre, l’archétype et l’idée, le vrai et son fantôme. par Sofia Borges |
samedi 23 novembre 2013
Indecipherable, are the namesPrésences incongrues d’animaux à l’œil impassible, pierres brûlées au feu inconnu de la transmutation, photo d’une sœur, souvenirs extraits d’une mémoire inconnue, paysage d’au-delà du temps, dessins catapultés images de pensée et schémas transformés en gueules béantes, tout est à la fois silence et cri dans les œuvres de Sofia Borges. Car elle photographie des choses déjà installées dans un espace de présentation, traquant avec son appareil, non la vérité de la chose ou de la personne, de l’animal ou de l’objet, mais la dystopie psychique dans laquelle aujourd’hui nous nous efforçons d’exister. Double de choses déjà exposées, les images de Sofia Borges creusent en nous le vide qui s’instaure, toujours entre le corps et l’ombre, la chose et son spectre, l’archétype et l’idée, le vrai et son fantôme. par Sofia Borges |
samedi 26 octobre 2013
White NoiseInterview de Michel Mazzoni par Nicholas Lewis, autour de son livre White Noise publié aux éditions ARP2 par Michel Mazzoni |
jeudi 24 janvier 2013
Des creux étendusLes représentations communément associées à la sculpture portent à voir dans cet art des types d’objets et de configurations spatiales offrant l’image, plus ou moins lisible comme telle, d’un processus de production durant lequel un matériau a été transformé – et informé – car littéralement « travaillé par la forme ». par Arnaud Vasseux et Fabien Faure |
dimanche 30 septembre 2012
Je suis une chose mentaleLa mise en scène de l’objet artistique quand elle remet en question les conventions qui lui sont généralement attachées, se donne pour vocation de nous alerter sur un nouveau mode d’identification du Vrai. Sur ce qui est conforme à ce qu’il paraît être. Sur ce qui ne l’est pas. par Pascale Geoffrois et Philippe Soussan |