Sofia Borges


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mardi 27 janvier 2015

Le non-vu

Sofia Borges ne travaille pas, elle vit. Mais aussi loin qu’elle remonte, elle constate que sa vie est recouverte par les vagues d’une interrogation multipolaire. Et chaque fois qu’une période semble se terminer, elle se retrouve comme emportée par la vague, un peu plus loin, un peu ailleurs encore. Et à chaque fois, pourtant, c’est la même impression qui l’assaille, la même interrogation qui la fait se relever : penser, c’est accepter de vivre au cœur du non ratioïde, et vivre c’est penser la réalité au moyen d’éléments qui ne relèvent pas tous de la raison.

par Jean-Louis Poitevin et Sofia Borges

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lundi 24 mars 2014

Photography inside museums

And to think about this I ask myself... what is the difference between photographing a living rabbit or a stuffed one ?

par Sofia Borges

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mardi 25 février 2014

Indecipherable, are the names

Présences incongrues d’animaux à l’œil impassible, pierres brûlées au feu inconnu de la transmutation, photo d’une sœur, souvenirs extraits d’une mémoire inconnue, paysage d’au-delà du temps, dessins catapultés images de pensée et schémas transformés en gueules béantes, tout est à la fois silence et cri dans les œuvres de Sofia Borges. Car elle photographie des choses déjà installées dans un espace de présentation, traquant avec son appareil, non la vérité de la chose ou de la personne, de l’animal ou de l’objet, mais la dystopie psychique dans laquelle aujourd’hui nous nous efforçons d’exister. Double de choses déjà exposées, les images de Sofia Borges creusent en nous le vide qui s’instaure, toujours entre le corps et l’ombre, la chose et son spectre, l’archétype et l’idée, le vrai et son fantôme.

par Sofia Borges

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samedi 23 novembre 2013

Indecipherable, are the names

Présences incongrues d’animaux à l’œil impassible, pierres brûlées au feu inconnu de la transmutation, photo d’une sœur, souvenirs extraits d’une mémoire inconnue, paysage d’au-delà du temps, dessins catapultés images de pensée et schémas transformés en gueules béantes, tout est à la fois silence et cri dans les œuvres de Sofia Borges. Car elle photographie des choses déjà installées dans un espace de présentation, traquant avec son appareil, non la vérité de la chose ou de la personne, de l’animal ou de l’objet, mais la dystopie psychique dans laquelle aujourd’hui nous nous efforçons d’exister. Double de choses déjà exposées, les images de Sofia Borges creusent en nous le vide qui s’instaure, toujours entre le corps et l’ombre, la chose et son spectre, l’archétype et l’idée, le vrai et son fantôme.

par Sofia Borges

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