Photo expérimentale

lundi 31 mai 2021

Femmes Sauvages VIII

Femmes Sauvages au fil de l’eau, dans la Semoy. Ou les bains de Vénus

par Martial Verdier et Sylvain Paris

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samedi 1er mai 2021

Femmes Sauvages VII

Au milieu des abeilles et sous le regard d’Eden

par Martial Verdier et Sylvain Paris

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samedi 27 mars 2021

CHAOS

Une plongée au cœur de Bangkok où tous les éléments qui constituent une ville sont empilés sur plusieurs hauteurs à travers des images qui disent la verticalité, l’accumulation, la confusion, l’énergie, la surabondance de tout, la ville, vivante et belle.

par Françoise Lerusse

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samedi 27 mars 2021

Femmes Sauvages VI

Dans la forêt des Ardennes, les arbres aussi sont habités.
Voyage vertical des corps nus.

par Martial Verdier et Sylvain Paris

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samedi 30 janvier 2021

Femmes Sauvages IV

Des journées entières dans les arbres

par Martial Verdier et Sylvain Paris

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dimanche 27 décembre 2020

The Stone of the Heavens

Some stories bring forth images, clear and suggestive, like film sequences. That which is told may seem incomplete and fragmentary, but images come forth. Maybe it is the incomplete and lingering question marks that strengthen the image ? In the artwork The Stone of Heavens I have tried to approach a story that I was told years ago, a story that has stayed with me since. The work consists of staged photographs that have been shot at the place where everything happened, and the research I have done around the story.

par Karl Magnus Petersson

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dimanche 27 décembre 2020

Femmes Sauvages III

Les Ardennes, des corps, des femmes, des corps de femmes dans les arbres.

par Martial Verdier et Sylvain Paris

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lundi 30 novembre 2020

Femmes Sauvages II

Le projet « femmes sauvages » a été réalisé aux bord de la Semoy — rivière trans-ardennaise — de 2016 à 2017 dans le cadre de la résidence artistique Rrose Semoy.

par Martial Verdier et Sylvain Paris

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dimanche 26 juillet 2020

In My Room/dans ma chambre

Mes autoportraits ne sont pas exactement moi : je suis de plus en plus conscient qu’ils relèvent du processus de création comme un procédé qu’on ne contrôle pas tout-à-fait et qui, comme le regard, nous fait parler. Dans cette « parlure » se conjuguent ce que je connais de moi et ce qui se joue, au moment de la création, qui m’est inconnu, mais qui advient. Mes autoportraits m’informent, entre conscient et inconscient, de ce que je crois en être de mon regard.

par Claude-Maurice Gagnon

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